Rare jouet érotique en bois, trotteur au symbole de Shiva phallus
prise en forme de phallus
Belles couleurs
usures d'ancienneté
bel état
Inde circa 1940
longueur 32 cm
largeur 37,4 cm
hauteur 25,5 cm
330 euros
Peinture érotique chinoise
Soie marouflée sur papier
Rouleau vertical
Dimension du rouleau 155 cm x 56 cm
Dimension de la peinture 88 cm x 43 cm
Très bel état
Belles couleurs
Chine fin du 19ème siècle
Montage rouleau tardif
Prix : 350 euros
Curiosa peinture érotique de Paul Boutry jeune femme nue
Jeune femme nue
Paul Boutry
Huile sur toile enchassée.
55 x 46 cm.
signée en bas à droite Paul Boutry
Paul Boutry, peintre né en 1936, a su s'impregner des maîtres impressionnistes tout en intégrant son propre génie à ses peintures. Il est référencé dans les principaux livres de cotation et atteint une forte cote sur le Akoun 2007
Prix: 450 euros
Curiosa fétiche à clous Nkisi Congo Sculpture chaman et sorcellerie erotic
Superbe patine et bel état
Les photos parlent d’elles même mieux que tout discours
Hauteur 54.7 cm
Pour cette rare posture, genou en terre, visage bicolore tourné vers la gauche, voir la couverture de l’exposition du Musée Dapper sur le geste Kongo
« Le nkisi des Woyo du Bas-Zaïre est un objet magique abritant une force impersonnelle ambivalente, susceptible d'attaquer ou de contrer une action agressive. Ces objets aux formes les plus diverses (statuettes, poteries, corbeilles, paquets, etc.) contiennent des substances minérales, animales ou végétales. Les statues servent soit à la divination, soit à la protection, soit à l'imprécation. Dans ce dernier cas, on enfonce un clou dans la statuette pour exciter une puissance surnaturelle qui se vengera sur une victime désignée.
En principe, un nkisi ne poursuit que des coupables.
Cependant une suspicion de sorcellerie pèse sur les « fétiches à clou » dont la fabrication implique le sacrifice d'une ou plusieurs victimes humaines.
Le possesseur d'un tel objet est redouté. »
Kongo, autour de Mayombe, Congo-Bas, RD Congo
« En Occident, ces statues suscitaient souvent à la fois méfiance, fascination et dégoût. Elles étaient vues comme des objets étranges et se retrouvaient souvent dans des « cabinets de curiosités ».
Pour les Kongo venant de la région de Mayombe, les fétiches à clous avaient une charge magique parce qu’ils étaient habités par les esprits de leurs ancêtres. On faisait appel à ces statues principalement pour faire face à l’adversité : en cas de maladie, lorsqu’il y avait litige ou si l’on était victime d’un méfait. La personne qui en faisait la démarche pouvait, par l’intermédiaire du guérisseur, charger la statue de découvrir l’auteur du méfait et le punir. On attribuait une énorme puissance à ces statues. »
38000 euros